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  • : Blog d'informations de l'Union Syndicale Solidaires09
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28 mars 2019 4 28 /03 /mars /2019 18:24
11 avril 2019 - Le printemps des retraité.es

RETRAITE.ES ARIEGEOIS.ES : OU SE SOIGNER DEMAIN ?

L’offre de soins s’est dégradée dans notre département depuis quelques années et s’accentue très rapidement.

  • Le CHIVA :  hôpital pivot du département a perdu des spécialités médicales en peu de temps (ophtalmologie, diabétologie, dermatologie, mammographie…), des lits d’hospitalisation dans de nombreux services toutes spécialités confondues sont supprimés. De ce fait certains patients après avoir passé plusieurs heures sur un brancard sont renvoyés à domicile car il n’y a plus de place dans l’hôpital. Ils reviennent peu de temps après avec une aggravation de leur maladie.
  • Les hôpitaux de Saint Girons et de Lavelanet : sont en péril et leur survie ne dépendra que de la mobilisation de la population.
  • Saint Girons : le manque de médecins et notamment d’anesthésistes remet en cause le maintien du plateau technique donc de la chirurgie et du bloc opératoire à partir de 2020.
  • La psychiatrie : spécialité médicale implantée à Saint Girons depuis 50 ans qui gère aussi des permanences dans les autres villes du département à travers les centres médico-psychologiques est également menacée par le manque de médecins mais surtout depuis que cette spécialité est soumise à la tarification à l'activité, c’est à dire à la rentabilité.
  • L’hôpital de Lavelanet : fermeture de la chirurgie depuis environ un an, reste un service d’urgence fragilisé. Le projet de la construction d’un nouvel hôpital est donc caduque sauf à faire une maison de retraite.
  • Hôpital de Tarascon : est devenu une maison de retraite car il a perdu récemment 30 lits de soins longue durée, quant aux soins suite et réadaptation certains sont inoccupés car ils sont dans des secteurs fermés.
  • Hôpital Saint-Louis d'Ax les Thermes : conserve, pour le moment, ses lits de rééducations mais jusqu'à quand vu que le CHIVA préfère adresser ses patients à la clinique Verdaich plutôt qu'à Ax les Thermes, signant ainsi son arrêt de mort dans le seul but de récupérer ses lits.
  • Les EHPAD du département : tous ont un manque évident de personnel ce qui rend indigne la prise en charge des soins de nos ainés.
  • L’ambulatoire : réduire les temps d’hospitalisation, opérer, soigner dans la journée et renvoyer à la maison à 18h le patient à son domicile sans se soucier de la présence d’une personne pour son accueil.

C’est HONTEUX !

Tout ceci est étudié, calculé par les dirigeants ultralibéraux de notre pays qui font tout pour qu’on aille se faire soigner dans les cliniques privées en vidant de leur substance les hôpitaux publics. Exemple : le CHU de Toulouse est  débordé et ne se trouvera bientôt plus en capacité d’accueillir les populations environnantes.

L’intersyndicale des retraité.es de l’Ariège appelle à une grande

mobilisation le 11 avril 2019

10h00 : rassemblement au CHIVA

10h30 : audience avec les responsables du CHIVA et de l’ARS

11h30 : opération escargot en direction du centre ville de Foix

 

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27 mars 2019 3 27 /03 /mars /2019 12:09
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15 mars 2019 5 15 /03 /mars /2019 06:47

 

 Paris, le 13 mars 2019

 

Madame Gaëlle Martinez

 

Union Syndicale Solidaires Déléguée générale fonction publique

31 rue de la Grange aux belles 75010 PARIS

 

à

Monsieur Gérald Darmanin

Ministre de l’action et des comptes publics

139 Rue de Bercy

 

75012 – PARIS

 

 

 

 

OBJET : préavis de grève pour la journée du 19 mars 2019

 

Monsieur le Ministre,

 

L’Union syndicale Solidaires Fonction Publique dépose un préavis de grève pour la journée du 19 mars 2019 (ce préavis comprend la nuitée en amont de cette journée pour les personnels travaillant en horaires décalés).

 

Ce préavis concerne l'ensemble des personnels titulaires, stagiaires, contractuels et auxiliaires des trois versants de la fonction publique et des établissements publics (y compris ceux présentant un caractère industriel et commercial) ainsi que les personnels titulaires et non titulaires de droit public exerçant leurs fonctions dans les sociétés anonymes et les établissements d’enseignement privé.

 

Solidaires dénonce depuis de nombreux mois les orientations générales du gouvernement en matière de droits des agent-e-s et salarié-e-s. Ces orientations, malgré les revendications portées par les mouvements sociaux, ne subissent aucun changement.

 

Solidaires dénonce également toutes les orientations concernant la fonction publique et les services publics : abandons de missions de services publics et fermetures de sites laissant sur le côté une partie de la population et augmentant encore les inégalités, 120 000 suppressions d’emplois sur le quinquennat, remise en cause du statut de la fonction publique notamment à travers la volonté de recours accru aux contractuels, synonyme de précarité, rémunération au mérite allant à l’encontre de la notion de service public…

 

Ces orientations, néfastes à l’ensemble de la population dégradent chaque jour les conditions de travail des agent-e-s dans les services, agent-e-s.

 

De plus, les agent- e-s publics subissent depuis des années d’importantes pertes de pouvoir d’achat. Solidaires revendique l’ouverture de véritables négociations salariales, portant sur des mesures générales par l’attribution d’un nombre de points uniforme pour toutes et tous, la revalorisation du point d’indice, l’intégration de l’indemnitaire dan l’indiciaire, la revalorisation des déroulements de carrière, la reconnaissance des qualifications.

 

Ce préavis est destiné à permettre à tous-tes les agents-es de la fonction publique qui le souhaitent, de participer aux mobilisations dans les nombreux secteurs en lutte afin d'exprimer et faire prendre en compte leurs revendications Pour l’

en matière de recrutements, de missions, de conditions de travail, d'évolution salariale…

 

Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de ma parfaite considération.

 

Union Syndicale Solidaires Fonction Publique

Gaëlle Martinez

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23 janvier 2019 3 23 /01 /janvier /2019 20:43

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23 janvier 2019 3 23 /01 /janvier /2019 19:09
Action des retraité.es du 31/01/2019
Action des retraité.es du 31/01/2019

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17 janvier 2019 4 17 /01 /janvier /2019 07:27
Chasser et sanctionner les chômeurs
Chasser et sanctionner les chômeurs
Chasser et sanctionner les chômeurs
Chasser et sanctionner les chômeurs
Chasser et sanctionner les chômeurs
Chasser et sanctionner les chômeurs
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10 janvier 2019 4 10 /01 /janvier /2019 14:23
Appel à manifester tous les samedis

 Manifester en masse pour faire céder le gouvernement

 

 L’Union syndicale Solidaires appelle à manifester sur l’ensemble du territoire avec ou sans gilet, ce samedi 12 janvier lors de l’acte 9 des gilets jaunes et lors des manifestations des samedis qui suivront. 

 

Solidaires met à disposition cet appel ainsi qu’un préavis pour la fonction publique afin de permettre, dans le privé comme dans le public, à toutes celles et tous ceux qui travaillent de se mettre en grève en ces occasions.

 

A un mouvement massif, déterminé et qui ne se satisfait pas de miettes, le gouvernement répond : « grand débat » et répression brutale.

 

Si le grand débat est hypothétique, la répression est bien là. Depuis de début du mouvement, 5 339 personnes ont déjà été placées en garde à vue. On compte des centaines de manifestant-es blessé-es par les forces de l’ordre qui utilisent toutes les armes à leur disposition (grenades lacrymogènes, grenades de désencerclement, tirs de flash-ball à hauteur de visage…).

 

Les annonces de Macron, Phillipe, les prises de paroles des ministres, des député-es et autres soutiens progouvernementaux n’ont convaincu personne, le mouvement continue et le gouvernement est affaibli. Les questions de répartition des richesses sont au coeur des revendications.

 

Nous appelons à manifester pour de vraies victoires à la hauteur de nos exigences : justice sociale, justice fiscale, égalité des droits.

 Cela veut dire :

· être plus nombreux et nombreuses dans les manifestations

· débattre ensemble de nos revendications et des moyens de les faire avancer

· agir ensemble dans nos entreprises, nos services, nos administrations pour faire avancer nos salaires, notre pouvoir d’achat.

 

L’Union syndicale Solidaires est disponible pour travailler à cela avec les gilets jaunes et avec les organisations syndicales qui le souhaiteront, dans les lieux de travail, les assemblées et dans la rue.

 

Solidaires Ariège appelle le plus grand nombre à rejoindre

la manifestation des Gilets Jaunes samedi 12/01/2019

RDV 10h aux allées de Villote à FOIX

 

 

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9 janvier 2019 3 09 /01 /janvier /2019 05:01
Indemnités de licenciement: un troisième jugement s’oppose au barème Macron

7 JANVIER 2019 PAR DAN ISRAEL, Médiapart

 

Le conseil des prud’hommes de Lyon a jugé que le barème limitant les indemnités accordées à un salarié licencié illégalement n’était pas conforme aux règles du droit international. C’est la troisième décision en ce sens rendue en l’espace de huit jours. Le débat juridique à venir s’annonce passionnant.

 

En huit jours, non pas un, non pas deux, mais trois conseils des prud’hommes (CPH) différents ont écarté une disposition des ordonnances qui ont réformé à marche forcée le droit du travail à l’automne 2017.

Le 21 décembre, les prud’hommes de Lyon (Rhône) ont décidé de faire fi du barème limitant le montant des indemnités que peut toucher un salarié licencié de façon illégale. Cette décision, communiquée ce lundi 7 janvier par le syndicat des avocats de France (SAF), fait suite à deux jugements similaires, rendus pour l'un le 13 décembre à Troyes (Aube) et pour l'autre le 19 décembre à Amiens (Somme), comme l’a révélé le site spécialisé Actuel-RH, repris par Le Monde.

Ces trois décisions groupées, prises en suivant un raisonnement proche, ne constituent bien sûr pas une jurisprudence solide. Il faudra attendre les jugements en appel, voire en cassation, pour qu’elles deviennent ou non un point de repère. Néanmoins, elles constituent un signal clair dirigé contre la mesure phare des ordonnances et pourraient commencer à inquiéter le gouvernement qui avait fait de la « sécurisation » des employeurs un des piliers de son action dans les premiers mois suivant l’élection d’Emmanuel Macron.

Les « juges » prud’homaux ne sont pas des professionnels, mais des représentants des syndicats et des organisations patronales. À chaque audience, deux d’entre eux représentent les salariés, et deux les employeurs, et les jugements sont pris à la majorité des juges. Autrement dit, pour que ces trois jugements invalidant les ordonnances soient rendus, il a fallu qu’au moins un représentant des employeurs adhère au raisonnement développé par les salariés.

Le jugement de Lyon est frappant, car il ne cite jamais directement le barème. Désormais inclus dans la loi, celui-ci plafonne les indemnités que peut accorder le juge, en fonction de l’ancienneté du salarié : l’équivalent d’un mois de salaire maximum pour la première année d’emploi, de deux mois pour un an d’ancienneté, de trois mois pour deux ans d’ancienneté, etc., jusqu’à vingt mois de salaire pour vingt-neuf années d’ancienneté et plus.

Le texte des prud’hommes de Lyon (disponible en intégralité sous l’onglet Prolonger), rédigé par son président, représentant les employeurs, écarte implicitement cette règle, en une seule phrase : « L’indemnisation du salarié est évaluée à la hauteur de son préjudice. » Pour étoffer le propos, toujours de façon succincte, il cite l’article 24 de la Charte sociale européenne, qui consacre « le droit des travailleurs licenciés sans motif valable à une indemnité adéquate ou à une réparation appropriée ».

Mediapart a déjà explicité ce raisonnement, en septembre et en octobre 2017. Développé en particulier par le SAF, il s’appuie sur deux textes internationaux, dont le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État ont jugé qu’ils pouvaient s’appliquer directement dans le droit français.

Le premier texte est la Charte sociale européenne. Ce texte, relativement méconnu, a été rédigé sous l’égide du Conseil de l’Europe, tout comme la Convention européenne des droits de l’homme. Ratifié par la France en 1999, il liste les règles qui doivent protéger les travailleurs des pays signataires.

Son article 24, sur lequel s’appuie la décision de Lyon, s’intéresse particulièrement au licenciement, et à sa réparation lorsqu’il est conduit de manière illicite. C’est sur son fondement que la Finlande a été condamnée en septembre 2016, pour avoir imposé un barème limitant à vingt-quatre mois de salaire maximum les indemnités prud’homales (c’est-à-dire quatre mois de plus que la France).

La décision précisait que « l’indemnité adéquate » au sens de l’article 24 correspond à « des indemnités d’un montant suffisamment élevé pour dissuader l’employeur et pour compenser le préjudice subi par la victime ». Le Conseil d’État a justement précisé dans un arrêt du 10 février 2014 que l’article 24 de la Charte sociale pouvait « être utilement » évoqué devant les tribunaux français, sans formalité particulière.

Le second texte appuyant le raisonnement du SAF est la convention n158 de l’Organisation internationale du travail (OIT), qui a été, elle, invoquée par les prud’hommes d’Amiens. Le texte a été ratifié par la France en 1989. Son article 10 stipule qu’en cas de licenciement jugé injustifié, les tribunaux doivent « être habilités à ordonner le versement d’une indemnité adéquate ». Dans la première décision écartant le barème, les prud’hommes de Troyes avaient évoqué à la fois la Charte sociale européenne et la convention no 158 de l’OIT.

Pour le gouvernement, les juges prud’homaux manquent de « formation »

Les prud’hommes de Lyon avaient à juger du cas de l’employée d’une association de familles de personnes handicapées, salariée à plusieurs reprises en contrat à durée déterminée (CDD) entre 2015 à 2017. Elle n’a ensuite plus été employée par l’association. Elle demandait la requalification de ces CDD en un contrat à durée indéterminée, ce qui lui permettait de faire reconnaître la fin de son emploi comme un licenciement sans cause réelle et sérieuse.

Le jugement a écarté ses demandes concernant tous ses contrats, sauf le dernier, un CDD d’une journée en octobre 2017, pour lequel la salariée n’avait en réalité signé aucun document. Comme le veut a loi, le conseil des prud’hommes a donc jugé que ce contrat devait être considéré comme un CDI, et que sa rupture était illicite.

La salariée s’est vu attribuer un mois de salaire entier au titre de son jour de travail (considéré comme le premier d’un mois de travail en CDI), un mois de salaire pour le préavis de licenciement non effectué, ainsi qu’un mois de salaire pour préjudice moral, eu égard notamment à sa « situation financière délicate ».

Elle a aussi et surtout obtenu trois mois de salaire au titre des dommages et intérêts pour licenciement sans cause réelle ou sérieuse, là où selon le barème institué par les ordonnances, elle n’aurait dû toucher qu’un seul mois de salaire au maximum.

Sur le fond, le débat juridique qui s’ouvre avec ces trois décisions prud’homales s’annonce passionnant. Saisi à ce sujet en référé par la CGT, le Conseil d’État a déjà jugé en décembre 2017 que « les arguments invoqués (…) ne sont pas de nature à créer un doute sérieux sur [la] légalité [du nouvel article du code du travail] ». Mais cette décision ne portait pas sur un cas concret, et les cours d’appel ou de cassation pourraient trancher différemment.

Le gouvernement avait pour sa part décidé de traiter les prud’hommes par le mépris. Interrogé par Le Monde en décembre, le ministère du travail a estimé que le jugement rendu à Troyes soulevait « à nouveau la question de la formation juridique des conseillers prud’homaux ». Une réponse lapidaire qui n’a pas franchement plu aux prud’hommes de Troyes.

Dans un courrier officiel, son président et son vice-président, représentant respectivement les salariés et les employeurs, ont dénoncé les « propos insultants » du ministère. « Mettre en cause notre autorité, notre compétence, et le principe de la séparation des pouvoirs, qui constitue pourtant l’un des fondements de notre démocratie, est scandaleux et porte atteinte à l’autorité de la justice et à son indépendance », ont-ils écrit.

De leur côté, les dirigeantes du SAF et du syndicat de la magistrature, classé à gauche, ont jugé dans une tribune au Monde « stupéfiant » que la décision de Troyes soit vue comme une insuffisance de formation. « Ni les juges, qui exercent leurs pouvoirs et n’ont pas à suivre la position du gouvernement, ni les parties au procès, qui défendent leurs droits, ne sont des ignorants qu’il faudrait remettre dans le droit chemin », clame la tribune. D’autres décisions viendront sans nul doute alimenter la controverse dans les semaines à venir. 

 

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2 janvier 2019 3 02 /01 /janvier /2019 13:54

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2 janvier 2019 3 02 /01 /janvier /2019 04:31
GRÈVE À LA SNCF
Les cheminots des Pyrénées Atlantiques finissent l’année 2018 en grève

Contre les pressions exercées par la direction pour faire rouler des trains sans contrôleurs, les cheminots du Sud Aquitaine se sont mis en grève ce 31 décembre.

Awa Dembelé , La Révolution Permanente, mardi 1 janvier 2019

 

Crédit photo : Guillaume Bonnaud

Lundi 31 décembre, 87% des conducteurs et 67% des contrôleurs SNCF du Sud Aquitaine ont fait grève, à l’appel de la CGT, suite à une assemblée générale tenue à Hendaye. Pour cause, les pressions exercées par la direction sur les conducteurs pour faire rouler les trains sans contrôleur à bord.

Les grévistes mettent en avant la nécessité indispensable d’un contrôleur titulaire sur chaque train, pour ne pas abandonner les usagers à leur propre sort. C’est une dégradation des conditions de travail pour les conducteurs mais aussi une détérioration du service aux usagers du chemin de fer, ce contre quoi se battent ces cheminots.

La circulation des trains perturbée

Les conséquences du mouvement de grève de ce lundi en Sud Aquitaine se sont fait sentir. Il n’y a pas eu de train sur la ligne Bayonne-Saint-Jean-Pied-de-Port et Oloron-Bedous, et l’Inter-cités à destination de Toulouse, devant quitter Bayonne à 16h53, a été supprimé. Également, de fortes perturbations ont eu lieu sur les lignes Hendaye-Bordeaux et Pau-Bordeaux.

Ces attaques à la qualité du service du chemin de fer s’inscrivent dans la continuité de la reforme ferroviaire contre laquelle se sont battus les cheminots pendant des mois au courant de cette année 2018 qui vient de s’achever.

Alors que le mouvement des gilets jaunes perdure, ces dynamiques de grève, se confrontant aux mêmes problématiques concernant la précarisation des travailleurs et les plans d’austérité mettant à mal les services publics pourraient ouvrir de nouvelles perspectives pour le mouvement des gilets jaunes si elles venaient à se généraliser.



 

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